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sur ordonnance

La ministre de la Santé Agnès Buzyn a signé hier un arrêté à effet immédiat rendant tous les médicaments contenant de la codéine, du dextrométhorphane, de l'éthylmorphine ou de la noscapine disponible uniquement sur ordonnance.

Néo-Codion, CodéDrill, Tussipax, Codoliprane, Claradol Codéiné, Humex Toux Sèche dextrométhorphane… L'ensemble des médicaments contenant de la codéine ou d'autres dérivés de l'opium est désormais sur prescription obligatoire. La liste qui circule actuellement via le dossier pharmaceutique, non exhaustive, comprend plus de 80 présentations. Tous ces médicaments sont sur liste 1 (pour les spécialités contenant du dextrométhorphane, de la noscapine, ainsi que les formes autres que le sirop contenant de l'éthylmorphine ou de la codéine) ou sur liste 2 (les sirops à base de codéine ou d'éthylmorphine). Les conditions d’exonération à la réglementation des substances vénéneuses dont ces médicaments bénéficiaient jusqu'alors si la quantité de principe actif était inférieure à 30 mg sont donc supprimées. Aucune des spécialités concernées n'était disponible en accès direct.

Concrètement, le pharmacien ne peut désormais plus délivrer ces spécialités sans ordonnance et il n'est plus autorisé à en proposer la vente sur son site Internet. Des restrictions de délivrance qui devraient satisfaire l'Ordre des pharmaciens.

La décision d'Agnès Buzyn, prise en lien avec la Direction générale de la santé (DGS) et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) fait suite à l'identification de nombreux cas d'abus et d'usage détournés de ces médicaments. Notamment la mode du « Purple Drank », un cocktail à base de codéine, d'antihistaminique et de soda, en constante augmentation chez les adolescents et les jeunes adultes depuis 2015, qui a provoqué deux décès depuis le début de l'année. La Commission des stupéfiants et psychotropes de l'ANSM a rendu, le 29 juin dernier, un avis favorable à la prescription médicale obligatoire pour toutes ces spécialités pharmaceutiques.



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11 Vaccins Obligatoires en 2018

 

La liste des onze vaccins obligatoires

 
 
 

Actuellement, l’obligation concerne les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).

S’y ajouteront ceux contre l’haemophilius influenza B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites) et le pneumocoque (bactérie provoquant des pneumopathies et des méningites).


Vaccins obligatoires : ce qui va changer

À partir de 2018, les enfants de moins de deux ans devront être vaccinés contre onze maladies. Les vaccins seront remboursés intégralement.

 
Le coût pour la Sécurité sociale est de l’ordre de 10 à 20 millions d’euros, selon la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Photo AFP
 

En 2018, les tout-petits devront obligatoirement être vaccinés contre onze maladies. Aujourd’hui, l’obligation ne concerne que trois vaccins, les huit autres étant seulement recommandés.

Qui est concerné ?

Les enfants de moins de deux ans sont concernés par l’extension de la vaccination obligatoire.

Combien d’injections ?

Passer de trois à onze vaccins obligatoires représente 10 injections pour les enfants, étalées sur deux ans. Au moins 70 % des enfants ont déjà ces 10 injections sur deux ans, et 80 % plus d’injections, car ils font déjà les vaccins recommandés.

Quand ?

La ministre prévoit un texte précisant les modalités et le calendrier à la fin de l’année pour une mise en place de l’obligation en 2018.

Combien ça va coûter ?

Les onze vaccins seront pris en charge à 100 % : 65 % par la sécurité sociale, 35 % par les complémentaires santé qui proposent un « contrat responsable ». La ministre réfléchit aux modalités de prise en charge intégrale pour les patients ne disposant pas de mutuelles. L’objectif est que le patient n’ait rien à payer quelle que soit sa situation.

Le coût de l’extension de la vaccination est estimé entre 10 et 20 millions d’euros pour l’Assurance maladie, selon Agnès Buzyn, la ministre de la santé.

Quelles sanctions ?

Le non-respect de la vaccination est passible de six mois d’emprisonnement et de 3750 euros d’amende. « En France, ces sanctions ne sont quasiment jamais appliquées » , observe la ministre, qui préfère des mesures de pédagogie à des pénalités. Elle travaille à des mesures d’accompagnement pour convaincre les familles de l’utilité de la vaccination. « Les vaccins sont des produits sûrs. Ils peuvent parfois avoir des effets indésirables, mais le risque est bien plus important à ne pas être vacciné. Nous n’avons pas assez expliqué le bien-fondé de la vaccination, d’où la défiance que l’on constate » , plaide Agnès Buzyn.

La liste peut-elle évoluer ?

Un rendez-vous annuel sera organisé pour faire l’état de la vaccination en France. Ce sera l’occasion de voir la progression de la couverture vaccinale mais aussi de revoir éventuellement la liste des vaccins obligatoires.

(sources l'Alsace)

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SUPPRESSION DE LA VIGNETTE SUR LES MEDICAMENTS REMBOURSES

Pourquoi la vignette est-elle supprimée le 1et juillet 2014 ? Envisagée dès 1999 pour simplifier les circuits de facturation et de paiement des ordonnances, la suppression de la vignette pharmaceutique – qui indique actuellement le prix et le taux de prise en charge sur les boîtes de médicaments remboursables – a été décidée à la fin de l’année 2012, sur la base d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS). La vignette est une spécificité française. Elle est source de complications administratives et techniques, et s’avère surtout superflue : tous les médicaments disposent désormais d’un code de traçabilité (le « Datamatrix ») et la transmission des feuilles de soins à l’Assurance maladie est maintenant entièrement informatisée. La suppression de la vignette pharmaceutique sera effective le 1er juillet 2014 : à partir de cette date, les fabricants de médicaments remboursables cesseront ainsi d’apposer des vignettes sur les conditionnements. Comment et par qui seront gérées les données sur le prix et la prise en charge des médicaments ? Les prix et les conditions de prise en charge ne figurant plus sur les conditionnements, ils devront s’afficher sur le poste informatique de l’officine une fois le code de traçabilité scanné. Les logiciels de dispensation devront être reliés à une base de prix nationale commune, régulièrement mise à jour. Cette base nationale, actuellement en cours de déploiement, est placée sous la responsabilité de l’instance qui publie les prix des médicaments au Journal Officiel (JO) : le Comité économique des produits de santé (CEPS). Elle est composée de fiches détaillées sur chaque médicament remboursable. Le CEPS mettra quotidiennement ces éléments à disposition des éditeurs de bases de médicaments (BDM), de logiciels de gestion des officines (LGO), du Club CIP (fichiers des industriels), de l’Assurance-maladie (CNAMTS, qui transmet aux autres régimes) et de l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM). Qu’est-ce que le code CIP 13 et le Datamatrix ? Le code CIP vise à identifier chaque médicament remboursable dans la base de données nationale. Il passe désormais de 7 à 13 chiffres. Un code de traçabilité, appelé « Datamatrix » remplace par ailleurs le traditionnel code barre, qui constituait jusqu’à présent le seul moyen d’identifier un médicament. Le code CIP 13 est inscrit en clair à coté du DataMatrix, de même que le numéro de lot et la date de péremption. La traçabilité du médicament est entièrement sécurisée : des professionnels assurent la qualité, la sécurité et le suivi des produits tout au long du circuit et le nouveau code vient renforcer cette sécurité. Qu’est-ce qui changera pour l’officine ? À partir du 1er juillet 2014, le pharmacien pourra accéder au prix et au taux de remboursement des médicaments remboursables en scannant le code de traçabilité (le « Datamatrix »), en tapant manuellement l’identifiant CIP 13 du médicament ou en entrant les premières lettes du médicament sur le poste informatique de son officine. Afin que le prix facturé soit bien celui issu du référentiel national, il est indispensable que : • chaque officine soit équipé de la version 1.40 addendum 4 et suivants de Sésame Vitale : celles disposant encore de la version 1.31 doivent impérativement s’équiper de la nouvelle version dans les plus brefs délais ; • les prix de la base du logiciel de l’officine soient actualisés quotidiennement ; • seul le CIP 13 ou le code de traçabilité (« Datamatrix ») soit utilisé et non le code barre, comportant un ancien code à 7 chiffres Que se passera-t-il en cas de changement de prix ? Les changements de prix font l’objet d’une publication par un arrêté publié au Journal Officiel (J.O.), qui précise la date d’effet du changement de prix fabricants. Le prix de vente par les industriels ou prix fabricant hors taxes (PFHT), soit le prix d’achat par les grossistes ou les officines ayant commandé les médicaments concernés en direct aux laboratoires, est modifié à partir de cette date d’effet. Le prix facturé par l’officine à l’Assurance maladie est le prix public toutes taxes comprises (PPTTC), qui change à une date d’opposabilité. En cas de baisse de prix À compter de la date d’effet (date de changement du prix d’achat au laboratoire), un délai d’écoulement des stocks de 50 jours est appliqué avant changement de prix public à l’officine. Ainsi, la date d’opposabilité sera fixée à J+50 pour tous les produits (20 jours pour les grossistes et 30 jours supplémentaires pour les pharmaciens). En cas de hausse de prix Le nouveau PPTTC sera applicable immédiatement (date d’opposabilité = date d’effet J+0). Pour l’inscription des nouveaux médicaments L’inscription au remboursement des nouveaux médicaments sera effective quatre jours après publication au JO (délai nécessaire pour que la mise à jour du référentiel CEPS atteigne l’ensemble des officines ; ceci n’exclut pas que les laboratoires approvisionnent les grossistes et officines en stock de médicament). Les changements de marge et de taux Ils seront applicables à la date d’effet stipulée dans l’arrêté qui les fixe. Que faire des boîtes comportant les anciennes vignettes ? La suppression de la vignette sera effective dès l’arrêt de l’apposition des vignettes par les industriels, qui sera effectif au 1er juillet. Les conditionnements munis de vignette encore présents dans le circuit de distribution pourront être écoulés sans limite de date. Attention : à partir du 1er juillet, le prix figurant sur la vignette ne devra plus être pris en compte ; seuls les prix actualisés à partir du référentiel national devront être considérés. Comment les usagers seront informés ? Les informations sur le prix et le taux de remboursement des médicaments disparaissant de leur conditionnement, elles doivent être délivrées au patient sur un autre support. Dispensation à partir d’une prescription L’information sur les prix figurera sur le ticket Vitale, imprimé par la pharmacie au verso de l’ordonnance au moment de la dispensation. Les éléments qui doivent obligatoirement être spécifiés sur ce ticket seront prochainement précisés par voie réglementaire. Dispensation sans prescription L’article L.113-3 du code de la consommation pose une obligation générale d’information préalable sur le lieu de vente, s’appliquant à tous les commerces. L’actuel arrêté du 26 mars 2003 fixe les conditions d’information du consommateur sur les prix des médicaments non-remboursables dans les officines de pharmacies. Il sera abrogé et remplacé par un arrêté, en cours de finalisation, intéressant les médicaments remboursables et les médicaments non remboursables. Trois moyens d’information alternatifs pourront également remplir cette obligation d’information : • l’étiquetage ; • l’accès à un catalogue sur support papier ou électronique, qui pourra par exemple être constitué d’une extraction de la base actualisée du logiciel de l’officine et devra toutefois être différencié du catalogue des médicaments non-remboursables, pour lequel le prix est libre et peut être différent d’une officine à l’autre ; • la mise à disposition d’une interface d’accès à Internet, permettant notamment l’accès au site gouvernemental d’information sur les médicaments : www.medicaments.gouv.fr. . suppression de la vignette pharmaceutique: Les commentaires anonymes ne sont pas autorisés, veuillez vous enregistrer Les commentaires sont la propriété de leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leurs contenus !
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PHARMACIE DE GARDE 3237

En plus de l'affichage sur les vitrines des pharmacies et d'internet, les pharmaciens proposent un service audiotel, le 3237, qui permet aux patients de trouver rapidement une pharmacie de garde. 

 

En tapant le code postal du lieu de résidence, le 3237 vous indiquera les 3 pharmacies de garde les plus proches.

Le coût de la communication est de 34 cts d'euros/minutes.

Sur internet, www.3237.fr est gratuit. Il faut utiliser la même procédure en tapant le code postal du lieu de résidence et en renseignant l'horaire de passage.

 

 

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ALD

Selon un décret paru au Journal officiel, la prise en charge des dépenses de transport des patients souffrant d'une affection de longue durée sera désormais réservée, à compter du 1er avril, aux assurés dont l'incapacité ou la déficience les empêche de se déplacer par leurs propres moyens.
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GRIPPE H1N1

Le virus H1N1 a été découvert au Mexique mi-mars. Les études en laboratoires ont montré que ce virus est d’un type totalement nouveau.

2 - Echelle des phases d’alerte 
Source Plan National de prévention et de lutte pandémie grippale 
La plupart des phases peuvent constituer le niveau d’entrée direct dans la crise, sans avoir été précédées par les phases de degré inférieur. A l’inverse, jusqu’en situation de pandémie, un retour à la situation antérieure et à un niveau inférieur est possible.


3 - Comment se transmet la grippe ?
Les virus de la grippe se transmettent de personne à personne par les sécrétions respiratoires à l’occasion d’éternuements ou de toux. Plus rarement, ils peuvent également se transmettre par contact direct. Les lieux confinés et très fréquentés (métro, bus, collectivités scolaires…) sont propices à la transmission de ces virus.
Les sujets infectés sont contagieux dès la veille des signes apparents de la maladie et durant 7 jours.
Liens utiles : http://www.inpes.sante.fr/
                     http://www.grippeaviaire.gouv.fr/

 4 - Comment se protéger ?
Le lavage des mains joue un rôle clé dans l’hygiène puisque c’est par les mains que se propage la majeure partie des maladies infectieuses. C’est pourquoi il est important de se laver les mains régulièrement.
En vue de limiter efficacement la contamination de l’entourage et de l’environnement, certains réflexes s’imposent :
- éternuer, tousser, cracher ou se moucher dans un mouchoir jetable à usage unique,
- jeter le mouchoir usagé dans une poubelle,
- se laver les mains ensuite.
Liens utiles : http://www.inpes.sante.fr/
                    http://www.grippeaviaire.gouv.fr/

5 - Quels sont les symptômes ?
Le plus souvent, les symptômes de la grippe apparaissent soudainement. Fièvre, fatigue, courbatures, maux de tête… sont les premiers signes de la maladie. Ces symptômes disparaissent en une à deux semaines. Il s’agit d’une grippe simple. De nombreux autres virus que ceux de la grippe occasionnent un tableau clinique similaire.
Dans le cas d’une grippe « compliquée » les complications sont dues aux virus eux-mêmes ou aux surinfections bactériennes (pneumonie) qu’ils peuvent engendrer. En période d’épidémie, les grippes compliquées touchent principalement les personnes âgées et les personnes fragilisées (maladie chronique, cardiaque, pulmonaire, métabolique, immunologique…).
Liens utiles : http://www.inpes.sante.fr/
                    http://www.grippeaviaire.gouv.fr/

6 - Quelle est la recherche faite par les Entreprises du Médicament pour   lutter contre la grippe ?
Les entreprises du médicament font de l'infectiologie un domaine de recherche prioritaire pour mettre au point de nouveaux traitements anti-viraux.
 
Cette priorité est en particulier affichée à l'échelle européenne dans le cadre de l'Initiative Médicaments Innovants [http://www.imi-europe.org/], qui a pour but de renforcer la productivité de la recherche de l'industrie pharmaceutique sur la base de partenariats avec le monde académique et les entreprises de biotechnologies.
Les entreprises du médicament spécialisées dans la production de vaccins sont une industrie high-tech qui s’illustre par ses capacités à innover (22,5 % du CA consacrés à la R&D) et à nouer des partenariats.
Elles s’appuient en Europe sur un réseau équilibré et visible de centres de recherche et d’unités de production : en France, on compte 3 centres de R&D, 2 unités de production (derrière la Belgique et à égalité avec l’Allemagne) et un pôle de compétitivité dédié à Lyon, qui joue un rôle de catalyseur.
Cette masse critique de R&D, l’organisation en réseaux et les partenariats avec la recherche publique permettent d’aborder des domaines nouveaux ou des situations en constante évolution, comme la grippe.
Actuellement 137 vaccins sont en cours d’essais cliniques.

7 -  Comment les Entreprises du Médicament se sont-elles préparées contre la grippe ?
Depuis 2004, le Leem se prépare, en collaboration avec la Direction Générale de la Santé,  à faire face à une pandémie grippale :
- en aidant les entreprises du médicament à mettre en place leur plan de continuité de l’activité,
- en identifiant les médicaments dont le maintien de l’approvisionnement est indispensable en période de pandémie,
- en se coordonnant avec les autres secteurs d’activité,
- en  participant aux exercices nationaux Pandémie 07 et 09.
Ainsi les entreprises du médicament sont un secteur stratégique dont le niveau de préparation est reconnu comme l’un des plus avancés.

8 - Existe-t-il aujourd’hui des traitements efficaces contre le H1N1 ?
L’OMS et les CDC américains ont reconnu l’efficacité de deux antiviraux (Tamiflu et Relenza) contre le virus du H1N1.
Ces médicaments sont indiqués en période de circulation du virus grippal en traitement curatif ou de manière préventive pour les personnes ayant été en contact avec le virus.
Est-il dangereux de les acheter sur Internet ?
Oui. En France la vente sur Internet ou par correspondance de médicaments de prescription est strictement interdite. Internet n’étant pas contrôlé, on ne peut vérifier la qualité, l’efficacité, la sécurité et l’origine des produits, ni l’identité du vendeur… Les risques de recevoir des médicaments frauduleux par ce biais sont importants : contrefaçon (copie illicite), malfaçon… à la différence des médicaments vendus en pharmacie, il n’existe aucune assurance de qualité ni de contrôle des autorités compétentes.

9 - Y-a-t’il un risque de résistance aux médicaments ?
Le virus de la grippe est un virus qui a la capacité de muter rapidement, ce qui pourrait le rendre progressivement résistant.

10 - Délai pour mettre en place le vaccin - A quand un vaccin ?
Les producteurs de vaccins doivent dans un premier temps recevoir le virus de l’OMS avant de pouvoir produire le vaccin dans un délai de 6 mois.
Les efforts de recherche des producteurs de vaccins devraient permettre de réduire ce délai de 2 à 3 mois

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